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LTD RANDO 68
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WILDENSTEIN : LA RANDONNÉE DES COLS  (R 74)

WILDENSTEIN : LA RANDONNÉE DES COLS (R 74)

→ 19,7 km ~ D+ 949 m ~ Assez difficile (4/6) ~ ***

Col du Bockloch, col de Pourri-Faing, col du Bramont, col de l’Étang (Seesattel), col du Rothenbach, col du Neurod et col du Herrenberg, voici un circuit complet au départ de Wildenstein, le dernier village de la haute vallée de la Thur. Il nous faudra la journée pour savourer cet itinéraire un peu long, fait de magnifiques forêts, de paysages somptueux et de refuges accueillants. À déguster de préférence en semaine, avec du grand beau temps !

Le lac de Kruth-Wildenstein et le village de Wildenstein, vus depuis le GR 531, entre les cols du Bramont et de l’Étang.

Le lac de Kruth-Wildenstein et le village de Wildenstein, vus depuis le GR 531, entre les cols du Bramont et de l’Étang.

Départ et arrivée : parking devant la mairie de WILDENSTEIN. Accès par la vallée de Thann (N 66), puis par D 13b au rond-point de Wesserling. Le village de Wildenstein est 1 km après la fin du lac. Le parking ? Sur la gauche en arrivant, juste après l’église, place de la Mairie. Temps de marche : 7 h (*). Distance exacte : 19,7 km (**). Dénivelé positif : 949 m (**). Difficultés particulières : avec sa distance et son dénivelé, cette grande randonnée est réservée aux marcheurs entraînés et en bonne condition physique ! La montée du départ jusqu’au col du Bockloch, puis celle à partir du col de l’Étang, sont les deux difficultés majeures de la journée, et il y a aussi quelques passages en descente un peu techniques. Conseils : chaussures de randonnée (et bâtons pour les seniors), le casse-croûte de midi et une bonne réserve d’eau ; casquette et lunettes de soleil en fonction du temps. Conditions météo : temps bien ensoleillé (23° au départ, 35° au retour), avec un léger vent frais sur les hauteurs. Niveau de ce circuit : assez difficile (4/6) (***).

LA CARTE DE LA RANDONNÉE :

Carte topographique de randonnée IGN TOP 25 (échelle 1/25 000ème) n° 3619 OT Bussang La Bresse.

Carte topographique de randonnée IGN TOP 25 (échelle 1/25 000ème) n° 3619 OT Bussang La Bresse.

DESCRIPTIF :

À partir du parking (alt 571 m), notre itinéraire « triangle bleu » démarre juste derrière la mairie, et ça grimpe de suite !

Le départ de notre sentier…

Le départ de notre sentier…

… qui s’élève au-dessus de Wildenstein.

… qui s’élève au-dessus de Wildenstein.

Le sentier entre dans la forêt, et les arbres offrent d’étonnants spectacles : un régal pour les yeux et le photographe !

Les racines de cet arbre effleurent à peine le sol !

Les racines de cet arbre effleurent à peine le sol !

Au milieu de l’image, un arbre a cassé net…

Au milieu de l’image, un arbre a cassé net…

… et on comprend vite le pourquoi du comment !

… et on comprend vite le pourquoi du comment !

Celui-là a été scié par précaution : on comprend vite pourquoi…

Celui-là a été scié par précaution : on comprend vite pourquoi…

Dans un virage (avec un banc), on remarquera des antennes de télévision, restes probables d’une télédistribution locale, à l’époque pas si ancienne où il n’y avait ni parabole ni Internet. Des rochers aussi, rassemblés en murets au bord du chemin, ou témoins d’anciennes granges. Et même une passerelle métallique, construite en 1985 avec l’aide de la commune de Wildenstein, très robuste puisque constituée de deux poutres en fer, et baptisée à la mémoire d’un président du Club Vosgien Mulhouse Crêtes.

La passerelle et sa plaque du souvenir. (Photomontage)

La passerelle et sa plaque du souvenir. (Photomontage)

On monte ensuite sur un large chemin, toujours « triangle bleu », et après on retrouve un sentier très agréable. Après une petite descente, un pont de bois nous amène sur un large chemin, ou on rejoint l’itinéraire montant de la cascade du Bockloch (1), qui est le nom du ruisseau. Nous sommes dans la réserve naturelle du Massif du Grand Ventron.

La passerelle sur le Bockloch…

La passerelle sur le Bockloch…

… et la signalétique propre aux réserves naturelles.

… et la signalétique propre aux réserves naturelles.

Voici le refuge du Hinterbockloch : c’est une petite cabane en bois robuste et bien isolée, avec une table ronde et deux bancs, et une possibilité de chauffage grâce à un poêle à bois ; à l’extérieur, on trouvera l’emplacement du feu de camp, une table et ses deux bancs. Ce refuge a été restauré en 2014, grâce à une démarche très intéressante.

Le refuge du Hinterbockloch…

Le refuge du Hinterbockloch…

… et le panneau expliquant la restauration.

… et le panneau expliquant la restauration.

Continuer le chemin « triangle bleu » ; plus haut, après la jonction avec celui montant du barrage du lac, prendre à droite, « triangle rouge », direction col du Bockloch. Sur la droite, en face, ou aperçoit la route des Crêtes, et sans doute les téléskis du Markstein. On arrive à une clairière avec un banc, et je reconnais l’endroit où, l’hiver dernier, mes difficultés avaient été réelles par manque d’équipements de neige (2).

L’itinéraire « triangle rouge » vers le Bockloch.

L’itinéraire « triangle rouge » vers le Bockloch.

La clairière Natura 2000, avec son banc…

La clairière Natura 2000, avec son banc…

… Photo comparative montrant le même endroit, 13 juin 2017 à gauche, et 13 novembre 2016 à droite !

… Photo comparative montrant le même endroit, 13 juin 2017 à gauche, et 13 novembre 2016 à droite !

Pour nous : direction à droite, avec un étonnant « stop engins à moteur » à l’entrée du chemin !

Pour nous : direction à droite, avec un étonnant « stop engins à moteur » à l’entrée du chemin !

Prendre le chemin à droite, vers le col du Bockloch, et c’est une liaison avec le GR 531. En à peine 5 mn, on arrive au col, altitude 1 011 m, le 1er de la série. Partir alors sur la droite sur la petite route goudronnée, en direction de deux autres cols, le Pourri Faing et le Bramont.

Au col du Bockloch, c’est à droite !

Au col du Bockloch, c’est à droite !

Cette section sur macadam n’est pas longue : après le carrefour avec la route venant de Cornimont, et après le refuge des Blancs Murgers (3), le GR 531 quitte la route et part sur la droite. Le début de ce chemin n’est pas très agréable, mais ça s’arrange vite (après un arbre déraciné), et on marche alors sur un tapis de feuilles. Mais attention à certaines zones en période de fortes pluies…

Une magnifique section du GR 531.

Une magnifique section du GR 531.

On arrive au col de Pourri Faing (4), alt 1 070 m et 2ème col de la série. Nous progressons sur une passerelle en bois, et un panneau fort bien fait nous présente « un petit air de toundra » : nous sommes au bord de la tourbière du Pourri-Faing.

Le panneau au col...

Le panneau au col...

… la passerelle en bois…

… la passerelle en bois…

… et la tourbière du Pourri-Faing.

… et la tourbière du Pourri-Faing.

Plus loin, on longe une autre tourbière, moins spectaculaire ; continuer ensuite sur le GR 531, sur cet itinéraire (déconseillé en cas de neige et de verglas). Nous n’irons pas au col de la Vierge, trop loin, qu’elle veuille bien me pardonner !...

On longe une autre tourbière…

On longe une autre tourbière…

… et en l’absence d’enneigement, on se risque sur cet itinéraire…

… et en l’absence d’enneigement, on se risque sur cet itinéraire…

… qui ne manque pas de charme !

… qui ne manque pas de charme !

Pour le Bramont, c’est à droite.

Pour le Bramont, c’est à droite.

Certains passages de la descente sont en effet rocheux et sportifs, et après c’est relax ! On rejoindra le Bramont par la droite, sur le sentier « rectangle bleu-blanc-bleu », qui est déconseillé aux personnes trop sujettes au vertige ou à la peur du vide. On arrive vite au col du Bramont, alt 956 m, le 3ème de notre liste. C’est l’heure du casse-croûte, les coins à l’ombre ne manquent pas !

Voici tous les panneaux qui nous concernent, au col du Bramont ! (Photomontage)

Voici tous les panneaux qui nous concernent, au col du Bramont ! (Photomontage)

Après la pause, nous reprenons le GR 531 « rectangle bleu » vers le col de l’Étang, encore appelée Seesattel, et donné à 45 mn. La montée est agréable et courte, et puis ça redescend. Dans un virage, la vue est superbe sur le lac de Kruth-Wildenstein, et 20 m plus loin, sur un rocher dégagé, elle est encore plus belle !

Le GR 531 après le col de Bramont…

Le GR 531 après le col de Bramont…

… et la vue sur le lac et le village de Wildenstein.

… et la vue sur le lac et le village de Wildenstein.

On arrive par une bonne descente au col de l’Étang (Seesattel), alt 1 024 m, 4ème col de notre série. Il y a là un abri ouvert robuste et rustique (table, bancs, cheminée-barbecue) ; ici, la restauration en 2013 (le toit est tout beau) fut l’œuvre du Club Vosgien de Saint-Amarin. C'est le moment d'une petite pause !

Le refuge au col de l’Étang.

Le refuge au col de l’Étang.

Et l’étang, il est où ? Il s’agit en fait d’une tourbière, celle de Machais (6) - le ruisseau qui y prend naissance s’appelle la Goutte de Machais -, annoncée par un panneau au col. L’accès direct est protégé et interdit, mais un point de vue (annoncé lui aussi) se fait par le sentier « + jaune » : en 3 mn, alors qu’on traverse un pierrier, on a une très belle vue sur ce site naturel exceptionnel !

Le panneau de la tourbière de Machais…

Le panneau de la tourbière de Machais…

… et le site magnifique !

… et le site magnifique !

Revenir au col de l’Étang et reprendre le GR 531, « rectangle bleu », en direction du Rainkopf. La montée est féroce, mais les lacets nous aident bien ! On longe l’ancienne frontière de 1871, avec son muret en pierre et ses bornes en granit, on traverse deux fois la route dite des Américains, et la source de la Thur est alors toute proche (7).

L’ancienne frontière entre la France et l’empire d’Allemagne…

L’ancienne frontière entre la France et l’empire d’Allemagne…

… et une borne de changement de département.

… et une borne de changement de département.

Après une bonne montée dans les myrtilliers (ici, il n’y a pas de fruit cette année, tout a gelé) et sur les hautes-chaumes du Rothenbach, un peu avant d’arriver au Rainkopf, prendre à droite l’itinéraire « rectangle rouge-blanc-rouge », direction Rothenbach, Herrenberg et Wildenstein. On arrive vite au-dessus de la Route des Crêtes (à l’embranchement de la route qui redescend vers le lac), avec en face le sommet du Rothenbachkopf.

Le panneau à ne pas rater : nous partons sur la droite !

Le panneau à ne pas rater : nous partons sur la droite !

Notre sentier, la Route des Crêtes et le Rothenbachkopf.

Notre sentier, la Route des Crêtes et le Rothenbachkopf.

Voici le col du Rothenbach, altitude 1 205 m, 5ème col de cette randonnée : suivre le sentier, direction col du Herrenberg. Il monte légèrement et traverse d’anciens pâturages, maintenant bien colonisés par des arbustes, myrtilliers, bruyères, et un nombre considérables de fleurs, dont les redoutables vérâtres. Sur notre droite, on revois la tourbière de Machais !

Notre sentier vers le Herrenberg.

Notre sentier vers le Herrenberg.

Après un stop-vaches en bois, la tourbière disparaît de nos écrans et on recommence à voir le lac de Kruth-Wildenstein, ainsi que le village de Wildenstein. Nous sommes encore bien en hauteur, le col du Neurod (6ème de notre liste) est franchi à 1 223 m d’altitude, mais il nous faut encore progresser horizontalement. L’auberge Steinwasen est sur la gauche, et sur notre droite on a le classique et bien connu « abri randonneur » (commune de Metzeral et CV Munster), surtout fréquenté par les promeneurs du dimanche qui y viennent en voiture ! Même pas 10 mn après on descend au col du Herrenberg, altitude 1 191 m, qui est le 7ème et dernier col de la journée.

Le panneau du col du Neurod…

Le panneau du col du Neurod…

… et celui du col du Herrenberg.

… et celui du col du Herrenberg.

Ici, on retrouve les vrais pâturages, car les fermes ne sont pas loin. Prendre à droite, « disque bleu », directions refuge SCM, Kruth et Wildenstein : traverser la route des Crêtes et continuer en face, vers Huss (et Hus) et Schaefert. On arrive au refuge du Ski Club de Mulhouse : de suite après, prendre le sentier « disque rouge », qui descend à droite vers Neufeld et Wildenstein.

Cette forêt de feuillus est très agréable, et on passe à côté de deux arbres qui sont tombés, couchés l’un sur l’autre, comme deux copains morts au combat : le premier est en travers du chemin, et le second un peu sur le droite.

Notre chemin « disque rouge ».

Notre chemin « disque rouge ».

Les racines de cet arbre n’étaient que des moignons…

Les racines de cet arbre n’étaient que des moignons…

… et cet arbre s’est brisé net !

… et cet arbre s’est brisé net !

La descente s’accélère, la forêt est propre et majestueuse, mais il ne faut pas rater le sentier qui part sur la gauche (on verra le panneau un peu plus loin).

La très belle forêt vers le Neufeld…

La très belle forêt vers le Neufeld…

… et le panneau à ne pas rater, inclus la signature récurrente...

… et le panneau à ne pas rater, inclus la signature récurrente...

Attention, le chemin zigzague en forêt et n’est pas toujours facile à suivre ! On arrive par un chemin empierré à la ferme Neufeld, alt 765 m et vente de produits fermiers, mais ce sont surtout des chiens qu’on verra et qu’on entendra ici ! Continuer tout droit, et ensuite sur la droite : Wildenstein est encore à 25 mn. On traverse un pâturage, et notre sentier se repère parfaitement grâce à d’énormes « disques rouges » accrochés aux arbres !

Vous avez dit « disque rouge » ? La vache est là pour donner la dimension de ces panneaux !

Vous avez dit « disque rouge » ? La vache est là pour donner la dimension de ces panneaux !

Le chemin empierré est ensuite difficile à marcher (attention aux rochers et à un câble métallique qui le traverse à hauteur limitée) et à suivre ; on passe sur un pont en pierre, ce qui n’est pas banal, on termine par un chemin en creux, et on arrive sur le chemin Nouveau (!). Il n’y a plus qu’à traverser la route pour retrouver la mairie, le parking et la voiture : cette randonnée des cols a duré exactement 7 heures (*) !

Textes et photos : Pierre Brunner, juin 2017.

→ AVEC OPENRUNNER : L’accès direct à ce parcours est ici, et il est téléchargeable sur GPS : https://www.openrunner.com/r/10081824

(*) TEMPS INDIQUÉS : ils sont ceux d’un randonneur entraîné, marchant à une vitesse moyenne à soutenue.

(**) DISTANCE et DÉNIVELÉ : ils sont calculés à partir du site OpenRunner https://www.openrunner.com/

(***) NIVEAU DES CIRCUITS : ils sont classés en 6 niveaux : très facile (1/6), facile (2/6), un peu difficile (3/6), assez difficile (4/6), difficile (5/6), extrêmement difficile (6/6) – ce dernier niveau ne devrait jamais être proposé ici…

 

COMMENTAIRES :

J’AI BEAUCOUP AIMÉ :

  • L’itinéraire bien balisé (Club Vosgien Mulhouse Crêtes et Vallée de St-Amarin).
  • La succession des cols.
  • Les tourbières Pourri-Faing et Machais.
  • Les abris.
  • La relative facilité des montées : le dénivelé positif total important passe finalement bien.

JE N’AI PAS TROP AIMÉ :

  • Juste la fin de la descente après la ferme du Neufeld.

NOTES :

  1. Bockloch : traduction = le trou du bouc (ou du bélier).
  2. Voir sur ce blog le circuit R34 « Le Grand Ventron avec la grande neige », sur le lien http://ltd-rando68.over-blog.com/2016/11/le-grand-ventron-avec-la-grande-neige-r-34.html
  3. Une partie seulement de ce refuge est accessible au public : voir le lien http://www.refuges.info/point/3266/cabane-non-gardee/Hautes-Vosges/Refuge-des-Blancs-Murgers/
  4. Le mot faing est très fréquent en Lorraine dans le Massif vosgien pour désigner un terrain fangeux, marécageux, le plus souvent tourbeux : il prend donc le sens de « pré humide, boueux », alors que la faigne désigne plutôt « la fange, le marais ou le marécage ». Voir le très complet article sur Wikipédia sur le lien https://fr.wikipedia.org/wiki/Faing_(toponyme)
  5. « Le col de Bramont sépare la Lorraine et l'Alsace et représente la limite départementale entre les Vosges – commune de La Bresse – et le Haut-Rhin – commune de Wildenstein. Une petite route goudronnée, le chemin Béry, part du col vers le sud en direction du col de la Vierge (1 067 m), permettant de rejoindre soit le Grand Ventron, soit le lac des Corbeaux. Le col a été frontalier entre 1873 et 1918 ; pendant la Seconde Guerre mondiale, une voie stratégique permettant de rejoindre la Route des Crêtes a été tracée un kilomètre en contrebas, du côté vosgien. Cette voie, la D 34a, encore dénommée la « route des Américains », aboutit près du Rainkopf. » (Source : Wikipédia)
  6. Voir le site http://tourbieres-machais.reserves-naturelles.org/pages/presentation_introduction.asp et cliquer sur lire..., ou le site http://www.reserves-naturelles.org/tourbiere-de-machais et cliquer sur lire la suite…
  7. Voir sur ce blog « Une source en pleine na’Thur », avec le lien http://ltd-rando68.over-blog.com/2016/08/une-source-en-pleine-na-thur.html
WILDENSTEIN : LA RANDONNÉE DES COLS  (R 74)

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