15,02 km - D+ 793 m - 5 h - Assez difficile (4/6) - *** - Non compatible VTT-VTTAE
L’ESSENTIEL :
Superbe circuit de montagne, au départ de Saint-Amarin (68) et jusqu’à la Route des Crêtes.
Ce circuit n’est pas trop long, mais le dénivelé le rend assez difficile par moments : il s’adresse donc à des randonneurs confirmés et en bonne forme. À prévoir sur la journée, avec le casse-croûte pris simplement sur l’herbe.
Au départ de St-Amarin, nous monterons jusqu’au-dessus de la Route des Crêtes et du chalet-refuge Edelweiss, pour y retrouver les itinéraires de grande randonnée GR 5 alsacien et GR 532. C’est d’ailleurs ce dernier qui nous accompagnera pour l’essentiel de la descente.
Et concernant le titre de ce circuit : non, les edelweiss ne poussent pas encore au bord de la Route des Crêtes, c’est juste un clin d’œil au refuge du ski-club de St-Amarin.
Merci aux bénévoles de la section du CLUB VOSGIEN DE LA VALLÉE DE SAINT-AMARIN (Président : Jean-Marie ALBRECHT, site Internet https://club-vosgien-saint-amarin.fr/), qui s’occupent de l’entretien et du balisage des itinéraires de ce secteur.
► Site de la Fédération du Club Vosgien, qui regroupe plus de 130 associations dans le massif : https://www.club-vosgien.eu/
DÉPART-ARRIVÉE : parking du musée Serret, rue Georges Clémenceau à SAINT-AMARIN. Accès facile par la vallée de Thann, D 1066 : en montant, au rond-point à la sortie de Moosch, prendre la 1ère sortie à droite (D 441), direction St-Amarin ; dans cette ville, un peu après l’Office de Tourisme, prendre à droite la rue Georges Clémenceau, direction Geishouse et Meerbaechel : quelques places sont devant le musée, d’autres sur sa gauche rue de la Carrière et VV 33.
→ Sinon : parking des randonneurs, un peu plus haut à côté de l’église paroissiale ; en arrivant devant cette église, suivre le panneau ‘‘Parking Randonneurs’’ 150 m vers la gauche : c’est juste au-dessus de l’ex-Cercle Catholique, actuel H’LAC dont on voit les peintures, et il partage l’espace avec une mini-déchèterie.
LA CARTE DU CIRCUIT (carte TOP 25 n° 3620 ET Grand Ballon, Cernay, Guebwiller).
→ AVEC OPENRUNNER : accès direct à l’ensemble du parcours et tracé altimétrique actif, téléchargeable sur GPS, sur le lien https://www.openrunner.com/route-details/21254971
La photo ci-dessus : nous partons depuis le musée Serret : continuer à monter la rue Clémenceau, puis place Maréchal Foch.
Les photos : au niveau de l’église, à la fontaine, prendre à gauche la rue du Cimetière. Après le mur inférieur de ce cimetière, à la borne d’incendie, suivre le sentier du Stockenberg qui grimpe sur la droite, en suivant le balisage « rectangle rouge-blanc-rouge ». La montée est de suite rude, sur un sentier pierreux qui devient chemin couvert d‘anciennes dalles. Une partie du balisage nous quitte provisoirement.
Les photos : le balisage ici est de nouveau multiple, et on verra alors les restes d’un itinéraire artistique mis en place il y a quelques années par les élèves du collège.
Les 2 photos : plus haut, il ne reste plus que notre balisage « rectangle rouge-blanc-rouge » et on marche sur un chemin forestier somptueux ; on arrive bientôt sur un plateau, marqué par un bel alignement de mélèzes.
► Plus haut (banc isolé sur la droite), 2 possibilités sont proposées, mais pas forcément bien balisées : l’itinéraire à droite, balisé « rectangle rouge-blanc-rouge », est mentionné en ‘‘passages difficiles’’, alors on restera sagement sur le chemin herbeux magnifique qui part tout droit en légère montée, mais le balisage identique se fait attendre…
La photo : on débouche à un croisement de petites routes goudronnées (en principe interdites à la circulation), et on verra sur la gauche le proche rocher Hochstein, aire de détente avec table et ses bancs (un banc en plus estampillé Ranspach) et le rocher lui-même.
► Revenir au croisement et prendre à gauche le chemin d’abord herbeux balisé « rectangle rouge-blanc-rouge », direction Markstein (ne pas prendre la direction Stockenberg). On arrive bientôt à un croisement de chemins, km 3 de notre circuit.
Continuer tout droit puis légèrement à droite (ne pas prendre le chemin du Schlung), « rectangle rouge-blanc-rouge », et de nouveau à droite, en suivant le même balisage.
Un bucheron nous souhaite bon courage, il en faudra, cette montée est rude, sur un chemin forestier un peu rocheux...
Les photos : on arrive sur un plateau, point-altitude 878 sur la carte, et un panneau en bois, maintenu par des brins de raphia, indique ‘‘vestiges du téléphérage 1918’’. Il suffit d’aller 20 m à gauche, et on verra les restes de l’arrivée d’une ‘‘ficelle’’, qui servait au débardage du bois à l'aide de câbles. Vers quelle commune ? Ranspach peut-être… → On lira des précisions ci-dessous, dans la partie documentaire.
Les 2 photos : notre chemin herbeux continue sur ce plateau, on longe maintenant un chemin empierré à notre gauche, et la beauté des lieux incite à prendre le casse-croûte ici, simplement installé sur l’herbe, au km 4 du circuit.
► Il y a encore quelques petites montées, mais en douceur, sur cet itinéraire propre et bien balisé. Continuer sur le chemin principal tout droit, et on rejoint bientôt le chemin empierré, qu’on suivra un moment, jusqu’à un croisement d’itinéraires.
Les photos : on quitte alors l’itinéraire « rectangle rouge-blanc-rouge » qui continue tout droit (sans précision de destination, mais c’est le Markstein), et on prend sur la droite « disque rouge », Moorfeld par Chalet Edelweiss. Nous sommes au point-altitude 992 sur la carte : continuer encore à droite sur le chemin Dreitafel (3 écriteaux ou 3 tableaux), et on arrive au km 5 de notre circuit. Les vététistes roulent sur la TMV, Traversée du Massif des Vosges.
Les photos : nous marchons sur un agréable chemin forestier, en légère montée, et j’ai photographié l’entrée d’une petite grotte naturelle, et aussi des troncs ébranchés qui ne donnent pas l’impression d’être en bonne santé.
Les 2 photos : ne pas rater, après un virage, le chemin qui monte vigoureusement sur la gauche, « disque rouge », Moorfeld, GR 5 et chalet Edelweiss. Cette montée n’est pas longue, mais elle est de loin la plus dure de notre itinéraire. Un peu plus haut, je reprends mon souffle en photographiant les doublons des panneaux indicatifs !
► N.B.L’abri du Dreitafel mentionné ici, (ou abri St-Hubert), je l'avais loupé bien plus bas, et ce n'est pas la première fois ! (voir ci-dessous, dans la partie documentaire).
J’ai continué la montée tout droit, et ensuite à droite sur ce même chemin, qui ne comportait plus aucun balisage : il aurait fallu suivre le « + bleu », mais la carte TOP 25 n’est pas conforme à la réalité. Je suis arrivé à l’extrémité du terrain de l’Edelweiss, que j’ai eu le plaisir de traverser.
Les photos : le chalet Edelweiss est un bel ensemble, apprécié de ses membres et des randonneurs de passage ; une source-fontaine permet de remplir les bidons, mais le débit est bien faible.
► Suivre le chemin goudronné d’accès qui rejoint vite la Route des Crêtes, et un sentier « disque rouge » permet même d’en couper les 2 virages. On traverse la Route des Crêtes et aussi le pré en face.
Les 2 photos : nous voici à la jonction avec les deux itinéraires de grande randonnée, que nous suivons vers la droite, sans avoir besoin des raquettes à neige.
Les photos : nous sommes au-dessus de la Route des Crêtes, et une légère montée nous permet d’atteindre le point le plus élevée de ce circuit, altitude 1 205 m. Il y a là, dans le pré qui a déjà été fauché, les restes d’un pylône d’ancrage, ouvrage de la 1è Guerre Mondiale ou téléphérage comme tout-à-l’heure, je n’en sais rien.
► Au km 7, point-altitude 1 199 m sur la carte, un chemin à gauche donne accès au ‘‘refuge USM fermé’’ selon un panneau très ancien.
Les photos : notre sentier continue dans un bout de forêt, avec un panneau ‘‘zone de quiétude pour la faune sauvage’’ un peu décoloré ; au sortir de la forêt, nous traversons les chaumes de la ferme du Moorfeld.
LA DESCENTE (7,5 km ~ pas de D+)
Les photos : légère descente, nous quittons le sentier et prenons à droite en suivant le double balisage « rectangle rouge » et « triangle rouge ». Nous sommes exactement à mi-parcours, on traverse la route, et quelques marches d’escalier nous permettent d’arriver sur un large chemin empierré, à suivre en descente, « rectangle rouge ». Un balisage que nous laissons partir sur la gauche 100 m plus loin : continuer tout droit sur ce chemin Morfeld (Moorfeld), « triangle rouge », direction Geishouse et St-Amarin. Il nous reste 5 km de marche.
► Joli chemin, propre, tranquille, en descente douce, avec devant nous la montagne du Storkenkopf.
Les 2 photos : vers la fin de cet itinéraire, j’ai photographié un petit torrent qui descend de la montagne, et juste après un aménagement qui pourrait être celui d’une ancienne source-fontaine, mais la carte n’indique rien et il n’y a plus d’eau.
► On arrive à un croisement de chemins, point-altitude 1042 sur la carte, avec le GR 532 qui nous rejoint par la gauche. Continuer tout droit sur un large chemin de terre, en double balisage « triangle rouge » et « rectangle jaune », mais attention…
Les 2 photos : même pas 50 m après, quitter le chemin pour le sentier qui descend sur la droite : nous sommes sur le GR 532, nous suivrons tranquillement son « rectangle jaune » jusqu’à l’église de Saint-Amarin, et il commence ici par un superbe sentier en forêt. Cette descente est facile et agréable !
Les photos : cet itinéraire est pourtant marqué par 2 ensembles de tables et bancs, qui gagneraient à être enlevés, faute d’être remplacés. Le premier au croisement d’un itinéraire « triangle rouge » vers Geishouse, le second au croisement de la route qui monte de St-Amarin et Mehrbachel (Meerbaechle sur la carte).
Les photos : au croisement de cette petite route, on ne verra sur la gauche que les toits de quelques maisons de l’écart Hohe de Geishouse. Attention : l’itinéraire routier est fermé jusqu’à la fin du mois de juin 2025 !
Les photos : continuer ce chemin « rectangle jaune », qui devient sentier et l’endroit a été marqué par la chute impressionnante d’un demi-épicéa, dont le dégagement n’a pas été facile ! Plus bas, on passe près de la source des Mulhousiens : située à 20 m du chemin sur la droite, elle coule avec un bon et régulier filet d’eau.
► Plus bas, après un passage sur un chemin empierré puis herbeux, ne pas rater le sentier « rectangle jaune » partant sur la droite, et nous avons là quelques zigzags rapides. Dans un virage, un joli point-de-vue est suggéré à 20 m ; plus bas, un itinéraire part à gauche vers la chapelle du Herrenwald, et nous restons tout droit pour arriver aux premières maisons de St-Amarin.
Petite rue goudronnée, on traverse une route et piste cyclable et on continue en face sur la rue Kattenbach.
Les photos : à hauteur de la ‘‘Maison d’Alice’’, on verra sur la gauche et en hauteur le Petit Château ou Schlössel, et droit devant l’église paroissiale catholique, toute proche maintenant.
► Traverser le ruisseau Kattenbach (il a un collègue éponyme à Thann) au premier pont avec en face l’ancien Café du Pont, et continuer à droite rue de l’Église. Une église que nous contournons par la gauche pour retrouver la place du Maréchal Foch, et la rue Georges Clémenceau nous ramène au parking du musée Serret. Ce circuit très beau et varié, assez difficile quand même, a duré exactement 5 heures (A).
Textes et photos : Pierre Brunner, mai 2025. Courriel personnel brunner.pierala@orange.fr
(A) LE TEMPS INDIQUÉ ICI est celui d’un randonneur certes entraîné, mais un peu âgé. Moyenne pour le circuit : 3 km/h.
NIVEAU DES CIRCUITS : ils sont classés en 7 niveaux : très facile (1/6), facile (2/6), assez facile (2,5/6), un peu difficile (3/6), assez difficile (4/6), difficile (5/6), extrêmement difficile (6/6) - ce dernier niveau ne devant jamais être proposé ici dans les Vosges.
INTÉRÊT DES RANDONNÉES : * = un peu intéressante ; ** = assez intéressante ; *** = très intéressante.
COMPATIBILITÉ VTT-VAE : c’est un simple conseil. → La responsabilité de LTD RANDO 68 et/ou celle de son gestionnaire ne saurait être mise en cause en cas d’accident.
UN PEU DE CULTURE :
Commune de 2 200 habitants (Saint-Amarinois, Saint-Amarinoises), qui a été fortifiée et avait son château (Le Friedberg) au milieu du 13è siècle. La ville s’est industrialisée au 19è siècle grâce à des mines d'argent, cuivre, plomb, cobalt, zinc. Intégrée à l'Empire allemand après la guerre de 1870, Saint-Amarin fera partie des rares communes alsaciennes libérées par l'armée française dès août 1914, mais reperdue, peu après, lors de la contre-offensive allemande. Site très complet de la commune https://www.ville-saint-amarin.fr/ ; lien Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Amarin
Musée Serret : musée d’histoire et de guerre, il fut ancien hôpital mobile alsacien. Voir les liens https://museeserret.fr/ et https://www.ville-saint-amarin.fr/musee/
Église paroissiale St-Martin : quelques éléments sont sur la page ‘‘histoire’’ du site de la commune https://www.ville-saint-amarin.fr/histoire/ . Attention : il y a de nombreuses confusions sur Internet avec l’église Saint-Projet et Saint-Amarin de Heimsbrunn, mais très peu de renseignements sur l’église de la commune de St-Amarin…
Le Schlössel (ou Schlessel ou Schloessle) : encore appelée ‘‘petit château’’, c’est une belle maison construite en 1807 par la famille De Grand-Champs, à l’emplacement de l’ancien château féodal, à proximité du front de rempart Est.
Ne pas confondre cette maison avec Le château de Friedberg : construit au 13è siècle, on le connait grâce à une fresque peinte sur la Maison du Bailli. En effet, le château de Saint Amarin n’a eu de cesse d’être détruit et reconstruit ; définitivement brûlé en 1665, ses pierres ont servi à la construction de l’église d’Oderen. (Source : site Internet de la commune).
Ski-club Edelweiss de St-Amarin : l’historique du ski-club est sur ce lien https://www.edelweiss-saint-amarin.fr/ledelweiss/ ; pour le refuge, c’est là https://www.edelweiss-saint-amarin.fr/le-refuge/
Le blason : ‘‘Coupé de gueules et d'azur, un croissant montant d'argent brochant sur sa partition’’. Le croissant de lune est l’emblème de Saint-Amarin depuis 1793, mais il était au départ figuré et tourné. (Source : Wikipédia)
Sur ce blog LTD RANDO 68, je suggère quelques randonnées au départ de Saint-Amarin :
À PROPOS DU TÉLÉPHÉRAGE
Une amie et fidèle lectrice du blog, Mary Funyo, m’a transmis un document fort intéressant : il s’agit de la photo prise en 2022 du panneau qui était sur le lieu. Merci Mary !
Il ne s’agit donc pas d’une technique de bûcheronnage, mais d’un câble devant servir au transport de matériel et de nourriture pour l’armée française depuis Ranspach, l’arrivée étant située en-dessous de la Route des Crêtes, près du lieu-dit Hundsruecken. Le chantier, commencé le 22 août 1918, a été abandonné à la fin des hostilités, le 11 novembre de cette même année. La photo publiée ici-même, prise près des GR 5 alsacien et GR 532, représente peut-être une ligne secondaire.
ABRI DU DREITAFEL (ou SAINT-HUBERT)
Il n’est pas forcément facile à trouver : mal situé sur la carte TOP 25, il est connu sous 2 noms bien différents, Saint-Hubert et Dreitafel !
Situation : exactement au point-altitude 992, au croisement entre les itinéraires « rectangle rouge-blanc-rouge » et « disque rouge ». Légèrement en contrebas, ou un peu en hauteur, il faut vérifier sur place.
L’appellation ‘‘Dreitafel’’ est propre au Club Vosgien : 3 tableaux, ou 3è tableau, on n’a aucune explication. Le nom ‘‘St-Hubert’’ fait naturellement référence aux chasseurs, et plusieurs chalets vosgiens portent ce nom, ailleurs aussi sans doute.
Voir le lien traditionnel https://www.refuges.info/point/4149/cabane-non-gardee/cabane-de-Dreitafel/
À PROPOS DU GR 5
La FFR, Fédération Française de la Randonnée, précise bien sur son site que le sentier de l’Europe s’appelle GR® 5, une dénomination déposée avec un balisage spécifique « rectangle blanc et rectangle rouge ». Mais la suite est ambigüe par chez nous : traverser les Vosges, ou les ignorer en les contournant par le versant Ouest, rien n’est défini… En attendant une hypothétique clarification avec le Club Vosgien, je préfère parler de ‘‘GR 5 alsacien’’.
QUELQUES RAPPELS :
► Vous trouverez le tout dernier tableau Excel permettant l’accès choisi à tous les circuits de ce blog (jusqu’au n° R 773 inclus) sur le lien https://ltd-rando68.over-blog.com/2025/04/nouvelle-mise-a-jour-du-tableau-excel.html - et grand merci à Jean-Yves pour son travail régulier de mise à jour !
→ On peut aussi utiliser la fenêtre Rechercher sur la page d’accueil du blog.
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► LA PHOTO D’OUVERTURE (et de fermeture) :
La Route des Crêtes est ici entre le Markstein et le col du Haag, tout près du lieu-dit Hundsruecken (ne pas confondre avec le col du Hundsruck, entre Bitschwiller-lès-Thann et Bourbach-le-Haut). Deux itinéraires de grande randonnée pédestre la suivent, le GR 5 alsacien balisé « rectangle rouge », et le GR 532 « rectangle jaune ». Au début du printemps, un grand calme règne encore dans ce secteur ; sur la gauche de la photo, le sommet arrondi est le Storkenkopf (Tête des Cigognes), 2è plus haut des Vosges avec ses 1 366 m.