STEINBACH : BAECHERKOPFHISLÀ, CAMP TURENNE (R 576) - 12,52 km ~ D+ 515 m ~ 3 h 45 mn ~ Un peu difficile (3/6) ~ *** ~ Non compatible VTT-VAE

30 Janvier 2023

12,52 km ~ D+515 m ~ 3 h 45 mn ~ Un peu difficile (3/6) ~ *** ~ Non compatible VTT-VAE

► Depuis octobre dernier, chaque circuit faisait l’objet de 2 parutions : la première, dite ‘‘version courte’’, ne comportait que la carte avec son lien, et 4 photos ; la seconde, publié le lendemain, présentait le descriptif complet classique illustré, et les recherches personnelles. Ce système n’ayant pas reçu l’accueil escompté (aucun avis ou commentaire positif), mais engendrant par contre une perturbation réelle au niveau des statistiques de l’hébergeur OverBlog (2 fois le même titre à 1 jour d’intervalle), il est supprimé, et je reviens à la parution unique et classique. Merci de votre compréhension !

L’ESSENTIEL :

Circuit très agréable et sans difficulté particulière, dans les collines sous-vosgiennes au-dessus de Steinbach, juste à côté de Cernay (68). Inclus :

tracé OpenRunner sur base carte IGN TOP 25
descriptif détaillé, textes, photos et renseignements

Au départ de Steinbach, premier parking de la clairière du Silberthal, nous monterons jusqu’au Camp Turenne en passant par les grands classiques que sont la chapelle Ste-Thérèse, le col Amselkopf, le carrefour Pastetenplatz, et le chalet-abri Baecherkopfhislà - désolé pour celles et ceux qui, comme moi, ne sont pas dialectophones… Pour le retour, nous irons presque jusqu’au col de Herrenfluh, avant de rejoindre le carrefour Schletzenbourg et de descendre au Silberthal par l’ancienne mine du Donnerloch.

Ce circuit est très beau ! Selon l’enneigement, il faudra prendre les précautions d’usages, bonnes chaussures, crochets antidérapants, voire raquettes à neige. Comme toute la progression se fait en forêt, à l’abri du vent et du brouillard, il n’y a aucune mauvaise surprise à redouter ; néanmoins, vététistes s’abstenir en hiver. Et pour le casse-croûte ? L’abri Baecherkopfhislà, idéalement situé, sera parfait !

Merci aux bénévoles de la section du CLUB VOSGIEN DE CERNAY (président : Christian SCHOTT, site Internet https://www.clubvosgiencernay.fr/) qui s’occupent de l’excellent balisage et de l’entretien des itinéraires de ce secteur.

► Site de la Fédération du Club Vosgien, qui regroupe 128 associations dans le massif : https://www.club-vosgien.eu/

DÉPART-ARRIVÉE : premier parking de la clairière du Silberthal à STEINBACH. Accès uniquement possible depuis Cernay (68) : prendre la direction de Vieux-Thann (D35), et aux calvaires peu après la Porte de Thann prendre à droite (D35II) direction Steinbach. Traverser tout le village, y compris la rue du Silberthal (panneau rue sans issue) et continuer le chemin carrossable ; on s’arrêtera au premier parking à droite, dont l’entrée (avec pont et glissières de sécurité) est en face d’une ancienne carrière.

→ Des travaux sont actuellement en cours rue du Silberthal à Steinbach (janv-fév 2023) : le passage pourrait être difficile voire fermé.

LA CARTE DU CIRCUIT :

Capture d‘écran OpenRunner (sur base carte IGN/CV TOP 25 et LTD RANDO 68 pour quelques rajouts) et tracé altimétrique statique.

→ AVEC OPENRUNNER : accès direct à l’ensemble du parcours et tracé altimétrique actif, téléchargeable sur GPS https://www.openrunner.com/route-details/16122444 → Attention, j’ai créé ce parcours sur Internet, il peut donc présenter des différences avec la réalité du terrain, même si la toute récente version OpenRunner permet une excellente précision.

LE DESCRIPTIF :

La montée jusqu’au Baecherkopfhislà (4,57 km ~ D+ 451 m ~ 1h 30mn)

STEINBACH : BAECHERKOPFHISLÀ, CAMP TURENNE (R 576) - 12,52 km ~ D+ 515 m ~ 3 h 45 mn ~ Un peu difficile (3/6) ~ *** ~ Non compatible VTT-VAE

Les deux photos ci-dessus : il y a du monde ce jour-là sur le parking devant la carrière ! On remonte toute la zone des parkings, direction Mine St-Nicolas, et 200 m plus loin on franchit la passerelle pour rejoindre la petite route d’accès au Silberthal. Devant la clairière, prendre le sentier qui grimpe vers la chapelle Ste-Thérèse, avec le balisage « anneau bleu » du Club Vosgien. On y arrive après quelques zigzags et un escalier aux marches en bois, altitude 480 m.

► Attention, il y a dans tout ce secteur plusieurs entrées d’anciennes galeries de mines : les jeunes enfants ne seront pas laissés sans surveillance !

On rejoint un peu plus haut un large chemin, à suivre vers la gauche, en montée donc, direction col de l’Amselkopf, « anneau bleu ». Ce chemin a été élargi et est devenu une véritable autoroute forestière !

Les photos : voici le col de l’Amselkopf, altitude 557 m, avec son banc bien connu et toujours apprécié des randonneurs. Continuer ensuite sur le chemin qui monte sur la droite, balisage « + jaune », direction Pastetenplatz, donnée à 40 mn.

► Un peu plus haut, on continue sur un sentier, et je décide de mettre les crochets antidérapants : la hauteur de neige est faible, 5 cm environ, mais sur ce versant nord-est il reste des plaques de verglas. On continue ensuite sur un chemin, avec un balisage « + jaune » bien fait.

Les photos : notre itinéraire traverse cette énorme place de bûcheronnage, dont la laideur est atténuée par la beauté du ciel. Après une bonne petite montée sur ce chemin autoroutier, on arrive au carrefour Pastetenplatz (traduction : place du petit pâté chaud !), altitude 790 m, et on continue sur le 2è chemin à droite avec le balisage « rectangle rouge-blanc-rouge », direction Camp Turenne.

► À partir de là, la neige est plus belle, malgré les traces des 4X4 de chasseurs ; la hauteur reste inchangée. Un moment, on quitte ce chemin qui amorce une descente, et on continue à gauche sur un autre chemin, même balisage « rectangle rouge-blanc-rouge ».

Après une bonne et courte montée et une portion plate, on quitte le chemin pour un sentier sur la gauche, et on arrive au chalet-abri Baecherkopfhislà, altitude 855 m. Ce nom est difficile à prononcer pour les non-dialectophones et non-germanophones, mais sa traduction ne manque ni d’originalité ni de poésie : ‘‘la petite maison près du sommet en forme de gobelet’’ !

Les photos : ça fume de partout au Baecherkopf, barbecue extérieur et poêle intérieur. Dedans, je rencontre le Cernéen Richard (à gauche, avec le bonnet), fidèle lecteur et pratiquant du blog LTD RANDO 68, qui se réjouit de me voir enfin et pour de bon ; et aussi Gaston (il vient de faire griller ses merguez), pseudonyme Djodg, qui habite Mulhouse. C’est un fidèle de ce chalet, il y vient presque tous les dimanches, allume le feu en hiver dès le matin, veille à la propreté et au rangement, et aussi à la présence d’une scie et d’une hache.

→ Djodg a même fabriqué un petit outil artisanal, pour forcer l’avoyage de la lame de la scie, ce qui facilite le maniement et surtout l’efficacité de l’outil. Pour tout connaître sur l’avoyage, voir ‘‘Les tutos du Bout de bois’’ des Guides et Scouts d'Europe, avec le lien https://www.youtube.com/watch?v=Q8VKOswrSN8

La suite de la randonnée (7,9 km ~ D+64m ~ 2h 15mn )

► Il ne reste qu’1 km jusqu’au Camp Turenne : la hauteur de neige atteint les 10 cm, quand même…

Les photos : au Camp Turenne, altitude 909 m, il ne reste que peu de traces de l’ancien hôpital militaire français de la Première Guerre Mondiale ; continuer sur le chemin à droite, direction col du Herrenfluh, balisage « triangle bleu ». La neige est belle, tout simplement, malgré les traces de véhicules !

► Après 1,5 km sur ce chemin quasiment plat, on rejoint un autre chemin, que les chasseurs venus de BS (Basel-Stadt, le canton de Bâle-Ville) fréquentent assidûment. Nous sommes au point-altitude 915 sur la carte, presque au km 7 de notre parcours.

Les photos : splendide panorama vers la plaine d’Alsace, ici à contrejour et perdue dans la brume ; notre chemin descend maintenant rapidement, c’est agréable et facile !

Les photos : les traces d’une présence animale sont rares ici ; en voici néanmoins deux, dont j’ignore tout, la seule certitude étant qu’elles appartiennent à des animaux agiles et pas trop lourds.

► Un peu avant d’arriver à la Route des Crêtes, et le col de Herrenfluh est tout proche, on quitte ce chemin pour un sentier partant à droite, balisage « + bleu », direction Schletzenbourg.

Nous sommes ici sur un itinéraire partagé avec les vététistes, qui est même zone pilote !

► On retrouve un chemin forestier, à suivre vers la droite, « + bleu », même direction et sens interdit. Nous sommes au km 8 du circuit, point-altitude 805 sur la carte.

Nous resterons un peu plus que 3 km sur cet itinéraire, et c’est la partie un rien monotone du circuit. On continuera sur le chemin principal, tout droit.

Les photos : il reste quelques minces plaques de glace sur ce chemin, j’ai donc gardé les crampons antidérapants.

► Un chemin nous rejoint d’abord de la droite, un autre plus bas de la gauche, avec un joli coup d’œil vers la plaine. Finalement, ce chemin Ingold se termine, et dans le virage qui suit (un peu après le km 11 de notre circuit) on le quitte pour suivre, à droite, la direction Steinbach, balisage « disque rouge ».

Nous sommes au carrefour de chemins et lieu-dit Schletzenbourg : continuer tout droit direction Steinbach, « disque rouge ». Un peu après, si on ne connaît pas ce petit sommet (alt 512 m, tracé en pointillés noirs sur la carte), on pourra faire le crochet, c’est intéressant, rapide mais non inclus dans le circuit.

→ Bien suivre le balisage « disque rouge », en particulier après un virage serré à droite, et il faut alors continuer sur la droite (le balisage n’est pas très visible ici). Plus loin, il faut rester tout droit (balisage encore moins visible ici).

Les photos : on arrive au niveau d’une terre rouge qui est la halde dite ‘‘des Sables Rouges’’, à côté d’une barre rocheuse dont la couleur interpelle : oxyde ferreux ou ferrique, je ne sais…

► Continuer sur le chemin qui tourne à gauche, « disque rouge » (ne prendre ni le sentier, ni l’escalier), et on le quitte 30 m plus loin pour le sentier à droite, balisage « anneau bleu ».

Les photos : on passe près d’entrées ou fenêtres d’anciennes galeries du site de la mine Donnerloch (attention aux enfants qui seraient tentés d’y entrer…), et on arrive au site lui-même, soigneusement entouré d’une clôture grillagée et qui semble à l’abandon : les passerelles en bois se sont effondrées et l’ensemble est de plus en plus ennoyé.

On retrouve le parking du départ : cette randonnée très belle et très intéressante a duré 3 heures et 45 mn (A).

Textes et photos : Pierre Brunner, janvier 2023. Courriel personnel brunner.pierala@orange.fr

(A) LE TEMPS INDIQUÉ ICI est celui d’un randonneur entraîné et un peu âgé : il ne prend en compte que les moments de marche et arrêts pour les photos, sans les pauses. Moyenne pour cette randonnée : 3,3 km/h.

NIVEAU DES CIRCUITS : ils sont classés en 7 niveaux : très facile (1/6), facile (2/6), assez facile (2,5/6), un peu difficile (3/6), assez difficile (4/6), difficile (5/6), extrêmement difficile (6/6) – ce dernier niveau ne devrait jamais être proposé ici.

INTÉRÊT DES RANDONNÉES : * = un peu intéressante ; ** = assez intéressante ; *** = très intéressante.

COMPATIBILITÉ VTT-VAE : c’est un simple conseil. → La responsabilité de LTD RANDO 68 et/ou celle de son gestionnaire ne saurait être mise en cause en cas d’accident.

UN PEU DE CULTURE, ÇA PEUT PAS FAIRE DE MAL :

STEINBACH :

Village de 1 400 habitants, situé juste à côté de Cernay ; le mot Steinbach signifie ‘‘ruisseau pierreux’’. Cette commune dynamique chargée d’histoire est connue pour plusieurs sites importants :

Le Silberthal (Val d’Argent) et sa clairière aménagée : la mine St-Nicolas produisait plomb, plomb argentifère et galène (visite possible d’une galerie), la mine du Donnerloch la cérusite et la pyromorphite (visite de galerie impossible), et la mine Kessel les minerais de fer les plus riches du vallon (site effondré).
La cascade sur le ruisseau Erzenbach (qui est le ruisseau de Steinbach).
Le rocher Hirnelestein.

Site Internet de la commune : http://www.steinbach-alsace.fr/ ; lien Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Steinbach_(Haut-Rhin)

► Sur ce blog, plusieurs randonnées sont proposées au départ de Steinbach, on les trouvera grâce au lien http://ltd-rando68.over-blog.com/search/steinbach/.

CHAPELLE SAINTE-THÉRÈSE :

Altitude 480 m. On découvrira l’étonnante histoire de cette petite chapelle sur le site de la commune de Steinbach, lien http://www.steinbach68.org/therese.htm. On y lira entre autres l’article ‘‘La véritable histoire’’, écrite et publiée dans les DNA du 29/09/2011 par votre serviteur, à une époque où j’étais CLP, correspondant local de presse (signature : P.Br.).

ABRI DU BAECHERKOPFHISLÀ :

On trouvera sur ce blog un article aussi complet que possible, ‘‘LE BAECHERKOPFHISLÀ’’, publié le 23 mai 2016, lien http://ltd-rando68.over-blog.com/2016/05/le-baecherkopfhisla.html

Voir aussi, en plus concentré, ‘‘LE « TOP 6 » DES ABRIS LAUCH-THUR-DOLLER : (4/6) ABRI BÆCHERKOPFHISLÀ, LE PLUS CHALEUREUX !’’, publié le 3 février 2019, lien http://ltd-rando68.over-blog.com/2019/02/le-top-6-des-abris-lauch-thur-doller-4/6-abri-baecherkopfhisla-le-plus-chaleureux.html

→ Si vous avez des informations complémentaires et/ou nouvelles, n’hésitez pas à nous les faire connaître, soit dans la rubrique ‘‘commentaire’’, soit en utilisant mon adresse e-mail perso : d’avance merci !

CAMP TURENNE :

Sur le blog LTD RANDO 68, deux articles très détaillés sont consacrés à cet endroit essentiel et donc incontournable du secteur :

‘‘LE CAMP TURENNE’’, publié le 16 septembre 2018, lien direct http://ltd-rando68.over-blog.com/2018/09/le-camp-turenne.html
‘‘LE CAMP TURENNE (NOUVELLE VERSION AUGMENTÉE’’, publié le 23 mai 2020, lien direct http://ltd-rando68.over-blog.com/2020/05/le-camp-turenne-nouvelle-version-augmentee.html

SCHLETZENBOURG :

Nom donné à un carrefour de chemins forestiers et de randonnée. Mais c’est aussi le nom d’un lieu-dit, situé tout près de la fin de ce circuit (visite conseillée si on ne connaît pas).

Ce lieu-dit, alt 516 m, est un rocher de porphyre. La carte IGN indique « ‘‘Scheltzenburg’’, mais pour une fois l’IGN a mal orthographié le nom, en positionnant le ‘‘L’’ à la mauvaise place. Schletzenburg donc, ou Scletzenbourg ! Contrairement à ce qu’indiquerait ce nom (Burg = château), il n’y a jamais eu de château ici, Burg étant juste une déformation dialectale de Berg = montagne. Le nom d’origine « Slettstein », mentionné au 15ème siècle, pourrait se traduire en ‘‘pierre plate’’, ou plateau. Comme au Hirnelestein voisin, ce rocher abritait, lors de la Première Guerre Mondiale, un poste français d’observation militaire, particulièrement bien dissimulé et protégé. Comme il n’y avait pas tous les arbres actuels, il était facile d’observer les batteries allemandes installées dans le secteur de Cernay et de Sennheim, et de donner par téléphone leurs coordonnées au centre du Camp Turenne, qui retransmettait à l’artillerie française, installée dans la vallée de Thann. Lire à ce sujet le paragraphe qui concerne le Schletzenburg sur le site http://hartmannswillerkopf.e-monsite.com/pages/hwk-les-observatoires.html . ► Attention, c’est un secteur un peu dangereux, l’entrée Est de l’observatoire et toute la partie Nord sont en très mauvais état. Sur la gauche du rocher en arrivant, un magnifique chêne aux branches multiples est un arbre-totem, et cet endroit doit dispenser une énergie vibratoire exceptionnelle !

MINE DU DONNERLOCH :

→ Parfois encore appelée mine du Schletzenbourg. Les fouilles entreprises sur ce site par l’association ‘‘Les Trolls’’ (autour de Bernard Bohly) ont permis de mettre à jour une exploitation minière d’envergure datée du 13è siècle. L’ensemble totalise plus de 60 mètres de longueur, sur 10 à 15 mètres de large. De nombreux boisages bien conservés et quelques objets ont permis de reconstituer les techniques d’extraction médiévales. D’autres éléments permettent de dater une reprise de l’activité vers 1478-1479. (Source : http://www.steinbach-alsace.fr/fr/information/85374/les-mines). Voir aussi les liens https://www.lieux-insolites.fr/alsace/steinbach/steinbach.htm (site très détaillé sur l’ensemble des mines de Steinbach), https://journals.openedition.org/adlfi/8319 (détail des opérations menées en 2001), etc…

Juste au-dessus se situe l’impressionnante halde dite des Sables Rouges, à droite d’une barre rocheuse. À ce jour, la galerie de mine associée à cette halde n’a pas encore été découverte… NB : la halde, qui n’a rien à faire ici avec la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité, désigne l’amoncellement formé dans une mine par les déchets et stériles issus de l’extraction du minerai : synonyme le terril. (Source : Wiktionnaire)

QUELQUES RAPPELS :

► Vous trouverez le très récent tableau Excel permettant l’accès choisi à tous les circuits de ce blog (jusqu’au R 571 inclus) sur le lien http://ltd-rando68.over-blog.com/2023/01/nouvelle-mise-a-jour-du-tableau-excel.html - et grand merci à Jean-Yves pour son travail régulier de mise à jour !

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Le chalet-abri du Baecherkopfhislà appartient à la commune de Bitschwiller-lès-Thann, et il ne figure que depuis peu sur la carte TOP 25 du secteur. Construit en 2002, il est situé à 1 km au sud du Camp Turenne, presque à la limite des bancs communaux de Bitschwiller, Thann, Steinbach et Uffholtz.